Où est le futur pigeon ?

Marchant dans les sombres ruelles, avec un sourire aux lêvres, il venait de plumer une nouvelle personne, il avait de quoi s'acheter a manger pour deux jours environ, mais en plus de ses autres économies ! Bref la vie habituelle pour lui, mais bon, comme toujours si jamais c'était un mafieux ou quelqu'un de la police qu'il avait plumé aux jeux de hasard... Hé bien il était foutut, dans la mélasse en gros... Bon il avait toujours son arme sur lui, ayant des munitions encore. Quand soudain il entendit:

???:" Hé Milli ! Ta de l'argent a me prêter ?"

Milli:"Non... En revanche... Tu m'en dois encore..."

???:"Mais j'arrive pas a trouver de bon pigeon..."

Milli:"Trouve toi du boulot alors, tu sais que j'ai déjà des problèmes actuellement, déjà la semaine dernière un type de la mafia..."

???:"Bon alors tu pourrais plumer un pigeon pour moi ?"

Milli:"D'accord... Regarde le maître a l'oeuvre."

Ils continuèrent de marcher a la recherche de quelqu'un, un pigeon bien entendut.

(Tous les pigeons sont les bienvenues huhu =p)

Abygail avançait d'un pas vif, ne laissant rien paraître de l'inquiétude qui l'avait prise malgré elle lorsqu'elle s'était engagée dans ces étroites ruelles, sombres et de réputation malheureuse... Elle avait pourtant longtemps vécu dans des endroits parfois pire que ceux-là, mais être obligé de vivre quelque part, parce qu'on n'a pas le choix, ne veut pas forcément dire s'y habituer.

Elle avançait vite, serrant son manteau autour d'elle. Il faisait très froid et le ciel était gris, menaçant de laisser tomber des trombes d'eau d'un moment à l'autre. Abygail relevait de temps en temps le nez vers ces gros nuages qui semblaient devenir de plus en plus noirs à chaque fois. Elle pressa un peu plus encore le pas, rentrant la tête dans les épaules, lorsqu'elle sentit quelques gouttes sur son visage. Plus les secondes passaient, et moins les gouttes d'eau étaient espacées. Il se mit bientôt à pleuvoir à verse et Abygail fut rapidement trempée jusqu'aux os.

Pestant, elle continua à avancer à travers les étroites ruelles, et au détour d'un croisement, elle fonça dans quelqu'un, et la violence du choc, augmentée par sa course, la fit se renverser en arrière et elle aterrit dans une flaque.

Milli regarda les deux autres tombés... Puis aidant la jeune femme a se relever il lui demanda alors:

Milli:"Vous allez bien ?"

???:"Milli et moi tu m'aiderais pas ?"

L'ami de Milli se releva, regardant la jeune demoiselle il poussa légèrement James pour pouvoir mieux séduire, il reprit alors:

???:"Mademoiselle veuillez m'excuser de vous avoir barré la route."

Pendant se temps la Milli trouva un pigeon, il alla rejoindre la personne qui accepta de jouer au poker, pendant ce temps la le copain de Milli en profita pour faire plus ample connaissance.

???:"Moi c'est Jeff, et lui là bas tous le monde l'appelle Milli... Et vous ?"

De son coté Milli eut de la faciliter pour gagner contre ce vieux phoque... L'homme n'y voyait que du feu, bien sûr il faisait exprés de perdre les parties ou il y avait les plus petites mises.

Jeff:"Si vous voulez je vous racompagne chez vous."

Un peu sonnée, Abygail se laissa aider à se relever puis se frotta les yeux.


"J'ai la tête qui tourne..." marmonna-t-elle.

Elle rouvrit les yeux et vit les deux hommes qui se tenaient en face d'elle. Elle eut un petit mouvement de peur, se demandant s'il s'agissait de criminels, mais ils avaient l'air plutôt élégants et elle en conlut - sa naïveté la méprenant encore une fois - qu'ils devaient être au moins de la petite bourgeoisie.

Un des deux hommes fit les présentation tandis que l'autre s'éloignait, visiblement occupé ailleurs. Abygail était intrigué par ce dernier, il avait quelque chose de familier mais elle n'arrivait pas à dire quoi. Elle se retourna vers le dénommé Jeff lorsqu'il lui demanda son identité.

"Euh..."

Elle n'eut pas le temps de répondre qu'il lui proposait déjà de la raccompagner chez elle. Elle haussa un sourcil.

"Non merci, je connais le chemin, je suis une grande fille." répondit-elle d'un ton ferme mais poli.

"Et pour répondre à votre question, je m'appelle Abygail Bla... Abygail." se rattrapa-t-elle.

Après tout, il n'avait pas décliné leur identité complète, pourquoi devrait-elle le faire ?

Elle regarda à nouveau de façon insistante en direction du dénommé James, ne faisant pas trop attention à Jeff qui pourtant semblait bien plus intéressé.

Jeff qui voulait faire son intéressant n'y avait pas réussi du tous, James pendant se temps la revint et passa de l'argent a Jeff, il avait réussi a gagner cinquante dollars. Il dit ensuite:

James:"La prochaine fois tu te débrouille."

Jeff:"Oui merci bon je te laisse alors."

James fut plutôt surpris que Jeff parte si vite, cela se voyait sur son visage, ensuite regardant la demoiselle il lui répondit:

James:"Veuillez excuser mon ami... Je ne sais pas ce qui lui arrive ses temps ci..."

James:*Aurait il négocié avec un mafieux ou un policier ? Il veux ma mort on dirait...*

La jeune demoiselle lui sembla perturbé, alors il lui demanda sur le ton le plus amicale possible:

James:"Puis je vous être d'une utilité ? Ou si vous voulez je vous propose une petite partie de carte."

Toujours se montrer polie avec un pigeon, c'était la première rêgle, la seconde étant de bien le plumer. Enfin bref James en était l'un des maîtres, il avait plumer des policier, des mafieux et des gents en tous genre.

Jeff semblait bizarre selon Abygail. La minute d'avant il avait l'air d'être planté là pour un bon bout de temps, et la minute suivante il était parti sans demander son reste. Abygail haussa un sourcil en le regardant déguepir sans même dire au revoir, puis se tourna à nouveau vers James, qui lui proposait une partie de carte. Elle croisa les bras et afficha un air plutôt vexé avant de répondre d'un ton assez ferme :

"Je vous ai vu, vous et votre petit jeu, avec ce pauvre vieux type, si vous croyez pouvoir me berner... Et puis de toutes façons, les jeux de cartes, c'est pas mon truc. Je sais pas compter, alors bon..."

Elle avait dit cette dernière phrase avec un peu d'amertume mais gardait un air sûr d'elle.

La pluie tombait de plus en plus fort, et Abygail avait l'impression d'entendre des roulements de tonnerre au loin, impression confirmée lorsqu'un éclair éclaira subitement le ciel, suivit quelques secondes plus tôt d'un fort coup de tonnerre, l'orage ne mettrait pas longtemps avant d'arriver au-dessus de la ville.

James aimait la pluie... Dans les batîments c'était plus facile de pieger les pigeons, de les rouler dans la farine. Il répondit alors a la jeune femme:

"Cela dois être bien triste... Mais mademoiselle, je rentrerais si j'étais vous, sinon vous risqueriez de choper un rhume."

James était loin de proposer de la raccompagner, des pigeons l'attendait ! Alors sur une large décision, il commença a avancer vers un abri proche, il dit alors:

"Si vous ne voulez pas attraper froid suivait moi... "

Entrant dans un batiment ouvert, c'était comme une sorte de qg des truands, la plus part regardèrent James avec un sourire, enfin quand on voyait comment était habillé James par rapport a eux, c'était comme le riche des lieux... Enfin bref, il était déjà prêt a repousser un jeune homme de quatorze ans qui l'approcha, il répondit même:

"Va voir ton abrutit de père. Moi je ne prête plus d'argent."

Bon oui a force de prêter de l'argent a Jeff... Ou a d'autre qu'il connaissait trés bien.

Abygail était déjà trempée jusqu'aux os, elle ne pensait pas qu'il fut possible qu'elle le soit plus que cela, mais l'intensité de la pluie ne cessait de redoubler et elle sentait ses vêtements devenir de plus en plus lourds à cause de l'eau. Donc elle suivit James sans dire un mot dans cet endroit... bien craignos. Et elle se mit à penser que peut-être il ne s'agissait pas d'un membre de la classe de la petite bourgeoisie... mais peut-être quelqu'un de l'underground, et elle se mit à avoir peur malgré elle.

Elle repoussa fébrilement une bande de gamins crasseux qui s'étaient aglutinés autour d'elle, réclamant de l'argent à tors et à cris. Elle se rapprocha de James, mais garda une certaine distance de sécurité, et lui demanda à voix basse :

"Hum... Que... Euh... Quel est cet endroit ?"

Elle hésita à demander également : et qui êtes-vous ? Mais elle craignait que cela n'envenime les choses. Que lui voulait donc cet étrange personnage ?

BOn pour l'instant tous alla bien, personne vint embêter James, mais un type que James connaissais bien alla venir pour "toucher" la belle Abygail. Le type était armé d'un couteau, premier reflexe de James se fut de sauter sur le type, ensuite il lui envoya une droite et se releva en vitesse sortant son pistolet. Il tira alors dans la gorge du malfrat.

"Voilà... Bon maintenant un seul qui approche cette jeune femme je le tue."

Il rangea son arme et faisait les poches de sa victime, il eut une expression de surprise qui tourna a la rage, il frappa le cadavre en disant:

"Donc depuis tous se temps tu pouvait me rembourser ! Espece d'ordure !"

Les personnes autours, surtous les truands firent silence, James se releva en ayant prit le pactole.

"Mademoiselle j'éspère que cela ne vous a pas éffrayé."

Dit il en se tournant vers la jeune femme, il lui tandis la main et lui demanda:

"Venez a mes quartiers se sera plus calme."

Tout se passa très rapidement. Abygail sentit le métal froid l'effleurer durant une fraction de seconde, puis James fondit sur son assaillant et avant qu'il ait pu dire ouf, la détonation du revolver retentit dans la pièce, couvrant le bruit de la pluie qui martelait les rares fenêtres, et l'homme s'écroula par terre dans une marre de sang.

Abygail était livide. Ce n'est pas comme si c'était la première fois qu'elle était témoin d'une telle scène, elle en avait même été parfois une actrice... Mais elle n'arrivait pas à se faire à la vision du sang, cela la rendait malade.

Frisonnante, elle s'avança vers James et déposa une main tremblante dans la sienne qu'il lui tendait, ne faisant pas tellement attention à ce qu'il disait tant elle était sonnée par ce qu'elle venait de voir. Son visage était d'un blanc crayeux, et sa tête tournait, elle avait besoin de quelques minutes encore pour s'en remettre.

"Je... je..." bredouilla-t-elle.

Elle avala sa salive, mal à l'aise. Sans s'en rendre compte, elle serrait fort la main de James sans la sienne, cherchant du réconfort de la part de cet inconnu sans même en avoir conscience.

Il l'emmena donc avec lui, se dirigeant a l'étage, il monta les escalier, plus personne n'osa regarder James, sa y est tous le monde avait peur... Puis le brouhaha habituelle reprit pendant que deux personnes jetèrent le corps dans la rue. Enfin bref, arrivé devant une porte, il l'ouvrit et y entra avec Abygail, le jeune homme n'avait pas le choix. Si il voulait la paix ses quartiers était le meilleur endroit, en faite il avait gagné ses quartiers dans une partie de poker, et la plus part des objets s'y trouvant. Enfin bref, il déposa son chapeau au porte manteau et son manteau aussi, ensuite il retira celui d'Aby et le mit au portes manteau, et dit:

"Je m'appelle James Millye... Mais tous le monde m'appelle Milli, je ne sais pas votre prénom mademoiselle, qui êtes vous ? Et je suppose que vous devez avoir une vue perçante pour avoir compris mes tours de passe passe... Au faite méfiait vous de Jeff et des autres, des qu'ils voyent une demoiselle... Il ne s'empêche pas de vouloir l'emmener dans le lit."

*Enfin je devrais l'emmener au lit elle... Je n'ai jamais vue de tel beauté en ses rues... je lui proposerais aprés en savoir plus sur elle.*

Abygail le suivit dans les escalier sans dire un mot, encore sous le choc, elle ne faisait pas attention à ce qu'il se passait, avançant comme une somnambule. Ce ne fut que, une fois arrivés dans les quartiers de James, lorsqu'il lui enleva son manteau, qu'elle se rendit compte de la situation. Elle se trouvait chez un parfait inconnu, dans un repaire de criminels. Son visage resta blanc, et elle continua à trembler, mais désormais de peur. Pourtant, James restait très courtois, mais quelque chose chez lui donnait la chair de poule à Abygail.

D'une voix blanche, elle répondit :

"Je... Je suis Abygail. Abygail Blake."

Elle ne rajouta rien d'autre. Qu'aurait-elle pu répondre ? Elle se contenta de hocher la tête aux conseils que lui donna James.

"Ho mais j'ai l'impression de vous éffrayez... Veuillez m'en pardonner, puis je vous offrire quelque chose pour me faire pardonner ?"

Il regarda autour mais ne trouvant rien... tous ce qu'il avait était gagné au poker... Enfin il n'avait rien a offrir, alors il lui dit:

"Euh je ne pense pas avoir quelque chose a vous offrire..."

Se fut dans un soupir qu'il s'asseya sur un des trois tabourets de la piêce, il avait un matelas bien entendue. Le matelas était propre, ce qui fut impressionnant ! Enfin c'était surtous parce qu'en faite il nettoyait la piêce avant de partir, et que dans le batîment il était celui qui avait la réputation la plus dangereuse. Enfin bref, il était le plus étrange a comprendre du batiment.

"Si vous voulez faites comme chez vous..."

*enfin pas trop quand même, ne rêveille pas mon coté obsédé...*

Abygail avait encore besoin de quelques minutes pour se remettre. Elle était toujours livide et avait peur maintenant en plus. La pluie tombait fort et tambourrinait à la fenêtre, créant un boucan d'enfer qui lui envahissait les oreilles. Elle se laissa tomber sur le matelas et se frotta les yeux, puis elle répondit :

"Euh... Ce... C'est pas grave je ne veux rien."

Puis elle reprit, d'un ton qui se voulait sûr d'elle, mais en évitant de le regarder dans les yeux :

"Et euh... Non non, pas du tout, vous ne m'effrayez pas."

Mais sa voix tremblait légèrement bien que cela soit à peine perceptible, et elle agitait nerveusement les mains, tripotant ses vêtements trempés.

Bref, il regarda un peu autour, cherchant aprés un parapluie, il devait en avoir un... Enfin bref, non il n'en avait pas... Tant pis, bon ensuite il regarda Abygail et lui demanda alors:

"Si vous voulez rentrer chez vous le plus vite possible je vous comprendrez... Mais attendez que la pluie cesse au moins cela vous évitera de tomber malade..."

*Et pour ma part j'ai intéret a surveiller les autres... Euh qui voye rarement des femmes, en prime si je les accompagnes... Bref, cela ne serra pas nécessaire d'en venir a la violence...*

Sortant de ses poches tous son fric, il se leva du tabouret et avança vers une sorte de boite a bijoux... Il l'ouvrit et y déposa les billets, ensuite pour ce qui était des piêces, il alla les mettres dans un coffre plus gros... Dans se coffre il n'y avait qu'un fond.

"Vivement que je puisse m'acheter une maison... Et que je me trouve un boulot... J'ai toujours voulut être fossoyeur... Et vous, vous auriez aimée avoir qu'elle métier ?"

Oui il avait des goûts des plus étranges mais enfin, il fallait le comprendre... De truand passer a fossoyeur quoi de plus logique ?

Abygail le regarda faire son petit manège d'un air curieux, oubliant momentanément sa frayeur. Puis lorsqu'il se retourna vers elle et s'adressa à elle, elle sursauta presque, et recommença à gigoter nerveusement.

*Fossoyeur ?! C'est quoi ce type ?!* se demanda-t-elle, éberluée, en l'observant d'un air interrogateur et perplexe.

Puis, se rendant compte qu'il lui posait une question, elle sursauta une nouvelle fois et répondit d'une voix fluette, se tripotant machinalement les cheveux, mal à l'aise :

"Euh... Je euh... Je fais le métier qui me plaît je... Je ne demande pas plus que ce que j'ai..."

Elle s'interrompit soudain, se sentant prête à débiter un flot de paroles confuses et inutiles. Lorsqu'elle était nerveuse, elle avait tendance à palabrer un peu trop. Et elle ne souhaitait vraiment pas ennuyer James, cela pourrait l'ammener à être énervé et c'était la dernière chose qu'elle voulait, l'énerver. Car c'était vraiment un étrange personnage, et qui savait comment pourrait-il réagir si elle se montrait gênante ?

Elle gigotait de plus en plus nerveusement.

*Oh comme j'aimerais partir d'ici...* songeait-elle avec amertume.

"Mais dite moi qu'elle est votre métier ?"

Oui il lui posa quelque question, ensuite il se reprit voyant qu'elle devait se sentir mal a l'aise.

"Si mes questions vous dérange dite le... Je ne vois pas en quoi vous auriez peur, tant que vous êtes en ma compagnie ici vous ne craigniez rien."

Bon d'un coté il était le seul truand a avoir une arme a feu, quoi que... Si il y en avait un autre il l'aurait sut car en faite... Ici il plume même les autres... Bref, enfin oui revenons a Fossoyeur, si il voulait l'être c'était parce qu'il était sûr de ne pas avoir d'ennuie !

*Je lui aurais bien proposé de l'alcool mais je n'en ai pas... J'irais plumé deux trois serveur du golden un de ses jours... Ou le patron lui même.*

Des petites pensées lui traversèrent la tête, et il lui demanda alors et avec son air tous a fais habituel, voir même plus amicale qu'avec les autres personnes.

"Vous aimeriez faire quelque chose en particulier pour passer le temps ?"

Il était vraiment bizarre, en temps normal Abygail aurait su à peu près garder son calme et son applomb, mais là, trempée comme une soupe et tremblante de froid, seule avec un criminel notoire dans un bâtiment rempli d'autres psychopathes, elle avait perdu tous moyens.

Et lui faisait comme si de rien n'était, comme s'ils étaient tranquillement installés dans un salon de l'Empire State Building, il lui faisait la conversation... Un criminel !

Elle se releva soudain et au mépris de toute prudaence lui lança d'une voix aigue :

"Mais enfin qu'est-ce que vous voulez ? Qu'est-ce que vous attendez de moi, hein ?"

Puis elle se plaqua les mains sur la bouche, horrifiée. Etait-ce de bon ton de réagir ainsi envers un criminel ? Tremblante, elle se mit à secouer la tête.

"P... Pardon je... J'ai eu tord... Je n'aurais pas dû... Je suis désolée..."

Qu'allait-il lui faire ?

Il fut surpris qu'elle lui parla sur se ton la, soupirant il dit alors, et restant sympas avec il lui dit alors:

"Vous savez, il suffit que je sorte pour que tous ses types se jettent sur vous... Je sais que je peus paraitre malhonnête envers les gents mais je suis en train de vous aidez en temps actuelle."

*Qu'est ce qui me retiens de faire comme ce que les autres pensent... Bon aussi vue qu'elle sais ou je vie, maintenant cela va augmenter les problèmes... Je suis sur qu'il va y avoir des morts dans peu de temps...*

Essayant de prendre une voix des plus dociles possible, enfin cela se voyait qu'il était souvent docile pour mieux appâter les pigeons.

"Allez détendez vous mademoiselle, des que la pluis cessera vous pourrez partir si vous le désirez."

Enfin a son avis elle n'attendrez pas que la pluie cesse... En faite il pensait surtous qu'elle partirait d'ici le quart d'heure.